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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Chômage : le pire est à venir pour les ouvriers

29/12/2010 02:39

Chômage : le pire est à venir pour les ouvriers


Le baromètre de Marianne enregistre désormais 4,618 millions de chômeurs. Depuis trois mois, c’est le niveau auquel le chômage s’est stabilisé. Alors que le pays s’apprête à entrer dans la rigueur mise en musique par le gouvernement, que l’Europe peine à défendre sa monnaie comme son industrie, le risque de chômage s’accroît notamment pour la part la moins protégée des salariés: les ouvriers non qualifiés.

Chômage : le pire est à venir pour les ouvriers

« Malgré cette augmentation sur un mois, ce chiffre témoigne de la stabilisation du nombre de demandeurs d’emplois depuis six mois. Le deuxième semestre 2010 aura en effet permis, malgré une reprise économique encore fragile, de stabiliser le nombre de demandeurs d’emplois », a indiqué Xavier Bertrand, ministre du travail. De retour rue de Grenelle, l’ex-patron de l’UMP, retrouve cet exercice terrifiant qui consiste à commenter des chiffres du chômage en période de récession. Bonhomme, le maire de Saint Quentin a fait contre mauvaise fortune bon cœur en célébrant une « stabilisation ».

Et de fait depuis 3 mois, le chômage semble avoir atteint un plateau. Avec 4,62 millions de personnes hors de l’emploi, notre baromètre s’installe donc à un niveau stratosphérique, qu’il n’avait encore jamais atteint avant septembre dernier. Même si sa vitesse décroît, la dégradation, portée par la dynamique du chômage caché, est, ce mois-ci encore, au rendez-vous: + 0,4% sur un mois, et + 6,6% sur un an. Au total, le taux de chômage au sens du baromètre Marianne s’établit à 16,4 % en France métropolitaine.

Crise aidant, Nicolas Sarkozy peut justifier d’une nouvelle ligne sur son CV due à sa politique: entre mai 2007 et novembre 2010, le nombre de demandeur d’emploi au sens du baromètre Marianne, s’est accru d’un million de personnes. Depuis son entrée de fonction en 1997, notre baromètre a progressé de 27,3 %.

Chômage : le pire est à venir pour les ouvriers

Cette dégradation globale prend des allures de catastrophe dans certaines régions. Ainsi, en Guadeloupe, plus de la moitié (50,6%) des 59 500 personnes inscrites au chômage le sont depuis plus d’un an, contre une moyenne proche de 38 % sur l’ensemble de la France. Abonnée aux indicateurs économiques dégradés, la région Nord-Pas-de-Calais se classe aussi première dans l’hexagone sur ce critère : la part des chômeurs de longue durée atteint 41,5% des inscrits, idem sur celle des moins  de 25 ans…

 

Chômage : le pire est à venir pour les ouvriers

Pour ceux-là, la chance de retrouver un emploi est bien maigre. Et rien n’annonce une éclaircie dans leur vie. Emporté par sa volonté de réduire les dépenses, le gouvernement a coupé dans les crédits affectés aux politiques de l’emploi. Les « petits boulots » maigres bouées pour ces naufragés de la recherche vaine de job vont donc se faire plus rares.

Dans le privé non plus l’avenir n’est pas rose : le gouvernement a beau répéter à tue tête sa prévision de croissance de 2% pour 2011, il ne convainc personne. Hors de Bercy, de l’Elysée et de Matignon, les économistes anticipent eux une croissance plus proche de 1,6 % que de 2 %, soit un rythme comparable à ce que le pays a pu vivre cette année, à peine de quoi créer 100 000 postes.

Surtout, l’hémorragie dans l’industrie hexagonale se poursuit. L’Insee prévoit une perte de 72 000 postes équivalent temps plein dans ce secteur en 2010, après – 171 000 en 2009.

Pour les ouvriers non qualifiés, la traduction est simple : cela signifie un risque accru de chômage.

Une récente étude de l’Insee permet d’en prendre toute la mesure. Jamais en 2009, le risque de chômage pour un ouvrier ne fut aussi élevé. Un  ouvrier en poste avait presque 9% de chance de connaître le Pôle emploi dans l’année qui venait, contre 3,6% pour l’ensemble des salariés. Quant au travailleur au chômage sa probabilité de le rester culminait à 62%.

Pis, cette dégradation du tissu industriel renforce les inégalités entre les salariés selon leur qualification. Ainsi la probabilité de chômage de 9 % pour l’ouvrier se compare désavantageusement à celle du cadre qui affiche elle 1,6 %. Résultat, jamais le rapport entre ces deux risques n’a été aussi important : le prolétaire a 5,6 fois plus de (mal)chance de se faire virer que le cadre contre 4,3 en 2005, soit une dégradation relative de 25 %. Merci la crise !

On comprend dès lors, le sentiment d’insécurité grandissant dans la population. Comment consommer, et encore quand les salaires le permettent, alors que le risque de chômage, et de déclassement qu’il induit, atteint des sommets ?

Les relativement bons derniers chiffres de la consommation sont à mettre au seul crédit de la précipitation des consommateurs à pousser les portes des concessionnaires d’automobile. À quelques jours de la fin de la prime à la casse, artificiellement maintenue en vie par le gouvernement, les ménages encore hésitant ont profité de l’aubaine… Cela n’aura évidemment qu’un temps. Cette mini relance est finie, reste le second terme de la rIlance le néologisme de Christine Lagarde : la rigueur.

Emmanuel Lévy – Marianne

http://www.gaullisme.fr/?p=11224






Une année de captivité !

29/12/2010 02:29

Une année de captivité !


Voilà 365 jours que Stéphane Taponier  et Hervé Ghesquiere  sont en captivité. DLR ne les oublie pas et leurs apporte son soutien ainsi qu’à leurs familles. De même que DLR apporte son soutien aux familles des 6 autres français qui sont dans la même situation dans le monde !






La grande misère de nos services publics

28/12/2010 19:25

La grande misère de nos services publics


L’odyssée des passagers du train de nuit Strasbourg-Port-Bou est proprement hallucinante et très révélatrice de l’état de dégradation de nos services publics, soumis à des impératifs de concurrence aux conséquences dévastatrices.
Les Français ont ainsi découvert, en cette période de fêtes, qu’il aura fallu 24 heures au lieu de 11 à un train de nuit pour rallier le sud de l’Hexagone à partir de la capitale alsacienne ! Avec effarement, ils ont aussi appris les conditions indescriptibles de cette galère : absence de repas en quantité et en qualité, insuffisance inadmissible de l’hygiène et de l’accès à l’eau potable et, par-dessus tout, défaut total d’information et d’interlocuteur identifié ! A croire que nous ne sommes plus en France en début de XXIème siècle, mais dans un pays arriéré, dépourvu d’infrastructures et d’autorités publiques dignes de ce nom !
Que se passe-t-il donc ? La SNCF invoque une « succession exceptionnelle d’incidents » et promet de bien chiches contreparties. Mais en quoi cette coïncidence malheureuse permettrait-elle d’expliquer l’absence d’interlocuteur dans le train naufragé ? La SNCF manque-t-elle à ce point de responsables locaux et régionaux qu’elle aurait été incapable d’en dépêcher un ou deux sur place pour coordonner les actions et informer les voyageurs ?
On voit bien que cette excuse, qui explique tout et rien, n’est qu’une lapalissade. La réalité est que, un malheur n’arrivant jamais seul, les incidents et dysfonctionnements à la SNCF, bien que moins spectaculaires, ne cessent de se multiplier. Cet automne, sur la seule ligne D du RER que je connais bien (elle dessert ma circonscription législative et la ville d’Yerres), les usagers et leurs élus ont ainsi assistés, éberlués, à des problèmes qu’on n’avait jamais vus auparavant : des trains ont été purement et simplement supprimés, pour cause… de feuilles mortes tombées sur les rails ! C’est l’incroyable argument avancé par les responsables de la compagnie (qui semblaient donc découvrir que les feuilles des arbres tombent en automne), qui cachait en réalité un problème bien plus trivial : la diminution endémique de moyen sur cette ligne, tant en effectif qu’en matériel en quantité et en qualité satisfaisantes ! C’est ce même manque de moyens qui a abouti dernièrement à ce que plusieurs usagers soient enfermés dans la gare de Yerres, situation ubuesque s’il en est !
La SNCF doit rendre de vrais comptes au lieu de se contenter d’explications vagues et dilatoires. A cet égard, le soutien que lui a apporté la ministre des Transports ce matin, l’excusant ainsi de son incurie, est totalement ahurissant. C’est à une enquête approfondie sur la gestion et l’évolution des moyens de la SNCF qu’il faudrait en réalité procéder, tâche dont pourrait valablement et impartialement se charger, par exemple, une mission d’information parlementaire.
Celle-ci nous révèlerait sans doute que la compagnie nationale, pour se préparer à une mise en concurrence décidée et imposée de longue main par la Commission de Bruxelles, compresse à tout-va ses coûts humains et matériels, délaissant les lignes les moins rentables. Cela aboutit concrètement à une dégradation de la qualité, de la continuité et de la sûreté du service public, dont les contraintes, jusqu’à un certain point et selon le secteur d’activité, paraissent peu compatibles avec les objectifs de rentabilité du privé (dépenser toujours moins pour gagner toujours plus).
Electricité de plus en plus chère, routes franciliennes paralysées par 5 centimètres de neige, trains naufragés, aéroports en rupture de stock d’antigel, etc. On a beau jeu d’accabler les entreprises publiques (de moins en moins publiques, d’ailleurs), mais n’oublions pas que leurs personnels sont bien souvent les premiers à souffrir de cette ruine progressive de l’outil de travail !
Cet hiver illustre une fois de plus que, face à la mise en concurrence généralisée, l’attitude de résignation vis-à-vis du moins-disant qu’endosse le gouvernement actuel, n’est pas tenable. Il est temps de mettre un holà aux dogmes de Bruxelles, à tout le moins de les encadrer par des exigences draconiennes de respect du service public, qui est tout autant celui des usagers-citoyens.
NDA
 
http://blog.nicolasdupontaignan.fr/post/La-grande-mis%C3%A8re-de-nos-services-publics







Crise : potion Irlandaise contre potion Islanda

28/12/2010 16:33

Crise : potion Irlandaise contre potion Islanda


Il y a quelques mois, en plein milieu d’une très grave crise financière, l’Islande apparaissait bien isolée et on pouvait se demander s’il n’aurait pas mieux valu qu’elle fasse partie de la zone euro. Mais quelques mois après, c’est l’inverse qui semble vrai, comme le souligne Courrier International.

Irlande vs Islande

Voici deux pays qui ont connu une énorme bulle financière dont l’explosion a provoqué un cataclysme économique aboutissant à une réduction d’environ 10% du PIB. Mais la réaction des deux pays a été très différente, en partie du fait de l’appartenance de l’Irlande à la zone euro alors que l’Islande a conservé sa monnaie. Bien sûr, il serait hasardeux de conclure que cette seule différence monétaire explique les différences entre les deux pays, mais il y a des leçons à en tirer.

La première différence est le traitement du système bancaire. L’Islande a laissé tomber les banques et ne les a donc pas renflouées, économisant des sommes gigantesques par rapport à l’Irlande qui a consacré 19% de son PIB aux aides au secteur bancaire uniquement cette année. Résultat, le déficit sera de 6% en 2010 en Islande, contre le double hors renflouement en Irlande. Mieux, la dévaluation de la couronne islandaise de 30% a relancé la croissance et les exportations.

Leçons et comparaison

Bien sûr, le cas de l’Islande restera unique car un défaut de ce petit pays ne risquerait pas de déséquilibrer l’ordre financier mondial. Cependant, Paul Krugman soutient que le fait de ne pas être dans l’euro l’a grandement aidée : « elle a fortement dévalué sa monnaie et imposé un contrôle des capitaux. Il s’est alors passé quelque chose d’étrange : bien qu’elle ait traversé la pire crise financière de l’Histoire, elle a été bien moins lourdement sanctionnée que d’autres nations ».

La raison est assez simple : la capacité à rembourser les dettes accumulées est cruciale dans le jugement des marchés. Or la croissance est essentielle pour permettre à un pays d’honorer ses engagements et il se trouve qu’une dévaluation permet de relancer la croissance. C’est pourquoi les marchés peuvent préférer un pays qui dévalue plutôt qu’à des pays qui s’enferrent dans des politiques déflationnistes qui alourdissent le poids de la dette et hypothèquent ainsi leur capacité de remboursement.

Il y a quelques mois, le cas de l’Islande semblait désespéré et seule une aide de la zone euro paraissait pouvoir le sauver. Aujourd’hui, le petit pays volcanique montre que le fait de ne pas faire partie de la monnaie unique était peut-être finalement un avantage…

Laurent Pinsolle

http://gaulliste-villepiniste.hautetfort.com/

 





16 juin 1940 : la fin de la campagne de France

27/12/2010 16:03

16 juin 1940 : la fin de la campagne de France


16 juin 1940 : la fin de la campagne de France
 
Auteur : L. Gué
Éditeur : Esprit du livre éditions, Seichamps (Meurthe-et-Moselle)
Collection : Les grandes dates de l'histoire
EAN13 : 9782915960815
ISBN : 291596081X

Résumé

Retour sur la campagne de France qui se solde, le 16 juin 1940, par l'armistice demandée par Pétain. Contrairement à une légende tenace, l'armée française s'est bien battue.

Quatrième de couverture

En mai-juin 1940, la France connaît la plus grave défaite de son histoire, un séisme militaire, politique, économique et social d'une ampleur jusqu'alors insoupçonnée. En à peine six semaines, son armée - pourtant réputée après la Grande Guerre comme l'une des meilleures au monde - s'est montrée incapable de faire face à la percée adverse et a subi une humiliation sans précédent. Aux 60 000 à 80 000 soldats tués s'ajoutent les 1 900 000 combattants tombés aux mains de l'ennemi. En outre, à la suite du départ précipité des autorités politiques françaises et de l'exode massif de la population fuyant devant l'avance allemande, l'état de désorganisation du pays est tel que plus aucune administration ni aucun service public ne sont en mesure de fonctionner. Les conséquences à court terme en sont dramatiques : occupation du pays, changement de régime politique et crise d'identité nationale. Le traumatisme à long terme engendré par la défaite pèsera peut-être encore plus lourd en provoquant l'affaiblissement de la nation tout entière et en sonnant la fin de son statut de grande puissance à la face du monde. La défaite de 1940 demeure encore un sujet délicat où mythes et légendes s'entremêlent, contribuant à obscurcir la réalité des faits. Cet ouvrage richement illustré revient de façon précise et chronologique sur les grands événements qui ont scandé ce drame depuis la déclaration de guerre jusqu'aux premières heures de la collaboration, en passant par l'armistice du 22 juin 1940. Une mise au point indispensable, appuyée par une iconographie variée et souvent inédite.







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